LE TOUCHER
Toucher, c’est entrer en contact avec soi et avec l’autre.
individuel
Le toucher est si naturel pour nous que sans lui, on peut devenir déprimé et irritable.
Du bébé à l’adulte le toucher nous communique une sensation d’amour, de chaleur et de sécurité.
Le cerveau et la peau ont une même origine embryologique. La peau et le cerveau se forme en même temps au 21ème jour de l’embryon. La partie la plus externe de l’embryon, l’ectoblaste donne naissance au système nerveux et à l’épiderme.
Le psychiatre Wilhelm Reich, disciple de Freud, a postulé l’existence d’une expression de la personnalité à travers des structures corporelles et a formulé une approche du traitement simultané du corps et des émotions.
Le toucher fait partie des 5 sens vision, odorat, gout, ouï, toucher
Le Toucher est certainement celui des sens qui est le plus indispensable à la survie de l’être humain. Le toucher permet d’entrer en contact avec son environnement.
Le toucher fait appel à notre réceptivité et nous aide à développer notre corporalité, la conscience « d’un dedans et d’un dehors. »
Il fait appel à nos sensations, nos ressentis. Et par là, il nous permet de savoir ce qui est bon ou pas pour nous. Il est comme un système d’alarme naturel.
Le sens du toucher est dû à la présence de nombreux récepteurs et corpuscules sous la peau. Chacun d’entre eux répond à une tâche particulière : la chaleur, au froid, à la pression ou à la douleur.
Les corpuscules de Pacini sont de volumineux organes sensoriels situés dans la partie la plus interne du derme (l’hypoderme). Ils sont principalement présents dans les régions palmo-plantaires et véhiculent les informations en liens avec le tact et la pression.
Ils informent le cerveau des mouvements du corps. D’autres corpuscules, les corpuscules de Meissner présents dans la pulpe des doigts, véhiculent les informations relatives au tact et ils informent le cerveau que la peau a été touchée. D’autres récepteurs entourés de tissus conjonctifs et de fibres nerveuses transmettent des messages de chaud, de froid, de pression et de douleurs.
La réceptivité est la première qualité dans l’approche du toucher. La 2ème qualité est la transmission de ces informations au cerveau. L’épiderme, la partie la plus externe de la peau contient un réseau de terminaisons nerveuses chargées de transformer les informations recueillies en influx nerveux électriques qui via les fibres nerveuses véhicule l’information jusqu’à la moelle épinière.
On parle bel et bien d’un axe cerveau-peau et il est sûr aujourd’hui que la peau peut exprimer une réponse au stress et que le toucher peut apporter une réponse au stress.
Le toucher Khalaya est un toucher tissulaire, énergétique et vibratoire.
Le toucher Khalaya utilise l’observation, l’écoute, le ressenti pour personnaliser son toucher.
Le corps exprime par ses maux ce que nous n’arrivons pas à mettre en mots.
Le corps est notre véhicule terrestre. Chaque partie de notre corps est en lien avec une symbolique. Cela nous aide à décoder et comprendre les maux et le langage de notre véhicule terrestre. La qualité du toucher varie avec la qualité du tissu, la zone corporelle concernée ainsi que le besoin conscient ou inconscient. IL est parfois nécessaire de faire appel à une aide, un regard et une écoute extérieure pour mieux comprendre ce que notre corps veut nous dire à travers ses maux.
Le Toucher KHALAYA s’adapte aux besoins du corps et de l’âme.
A travers le toucher, nous apprenons à recevoir.
Nous apprenons à développer notre énergie féminine YIN de réceptivité.
Le toucher entretient et nourrit notre terre intérieure.
Le toucher est une aide pour équilibrer notre YIN et notre YANG.
L’expression extérieure de notre YANG devient plus simple, plus posée.
Nous pouvons ainsi exprimer nos richesses intérieures dans le respect, la justesse, la bienveillance et l’affirmation de notre âme.
Mes pratiques vont de la réflexologie au toucher énergétique en passant par le toucher sécurisant et nourrissant.